La vie est un tissus de mensonge

Dimanche matin Lili déprime totalement aujourd'hui.
Le début de semaine elle était pleine de joie et de vitalité. Normale, elle allait en cours. Vous vous demandez certainement ce qu'il y a de génial d'aller ne cours et bien je vais vous répondre simplement. Elisabeth retrouve toutes ces amies et surtout sa cousine et son cousin. Elle passa avec eux des moments de pure bonheur malgré qu'il y ai les cours. Voila ce qui la motive et la rend joyeuse. En plus elle pense a la fin de semaine, le samedi sa journée cheval. Donc ce la signifie passer sa journée en compagnie des chevaux et donc en compagnie de Laubry son cheval adoré. Si elle pouvait l'acheter elle n'hésiterais pas. Il ne peux y avoir meilleur chaussure a son pied. Ils s'entendent si bien, leur relation est si.......... Il n'y a même pas de mots pour qualifier leur entente. En sa compagnie la jeune femme est aussi légère qu'une plume, aussi heureuse que.... Bien sur, il y a Sultan mais se n'est pas pareil. Sultan est lui aussi quelqu'un de très important mais les chevaux eux sont le fil qui la tient a la vie. Aujourd'hui elle n'est pas en leur compagnie et ces amies sont occupées, voila que la journée est déprimante. Malgré qu'il y ai un soleil magnifique. Mais ne voulant rester seule chez elle, elle pris son vélo et se dirigea vers Oceanside centre. Elle avait envie d'être seule loin de la maison. Une fois arrivé la bas, pleine de pensées nostalgique, Elle se balada dans la ville, quand un panneau lui indiqua un lac. Curieuse, elle suivit le panneau jusqu'à la destination. Elle pensa être seule et ne point trouver de monde. Elle avait tord. De voir un groupe de jeune de son age assit sur un banc, lui rappela l'ancien temps ou elle sortait avec ces potes , ou ils passaient leur journée dans le parc a se raconter des histoires, a boire... Ils leurs arrivaient aussi d'aller au cinéma, ou de faire les magasins. Le regret d'être partie s'empara d'elle. En voyant une petite fille avec son papa, lui fit encore plus mal. Cela fait un moment qu'elle n'a pas passé un moment tel que la petite fille le vivait. Une journée ou elle serait seulement avec son père. Ces moments d'intimité elle aimerait les vivre, rattraper le temps perdus malheureusement cela lui est impossible son père est mort. Elle marcha les pensées vagabondes, le regard triste, la tête pleine , le corps lourd et le Ipod aux oreilles.

*Qu'est ce qui ne va pas entre moi et Tyler? Je ne le comprends plus!! Pourquoi ne fait il plus d'effort? Ou ai je échouer!!

La vie n'est pas tous les jours joyeuse. Je ne sais pas si vous avez déjà eut a faire a une situation amoureuse délicate mais en ce moment c'est le cas! Plus rien ne va dans son couple. Elle passe son temps a se disputer. Il est tout le temps défoncer, elle commence aussi a l'être de plus en plus. Pourtant au début et il y a même pas un mois et demie tout allait bien. Et en même pas un mois voila que le château de carte s'écroule mais vraiment comme une merde. Je viens de tomber de haut. Je n'aurais jamais pensé que notre vie pourrait devenir ce qu'elle est aujourd'hui. Qu'est ce qu'il a pu se passer.

-Stop!!! J'en ai marre.

Elisabeth arracha son Ipod des oreilles. Elle était énervée et complètement découragée. La force lui manquait, la douleur était trop forte. Elle se mit alors a courir pour que toute la colère et l'énergie qui lui est monté dans le sang s'échappe. Elle était porté par ces émotions qu'au bout de 45 minutes elle courait toujours. Elle qui est pas sportive ne sentie aucune douleur physique tellement la douleur mentale pouvait être forte. Elle ressentie quand même un peu de calme l'envahir. Elle s'arrêta alors et s'allongea dans un coin isolé. Un chêne surplombait l'endroit. L'herbe y était verte quand au paysage il était apaisant. Elle respira par la bouche de grandes goulées d'air. Les larmes envahirent son visage, elle avait mal partout. Elle avait l'impression de bruler de l'intérieur, mais elle a aussi trop solliciter ces muscles qui du coup lui font mal.

Dimanche matin, 6h30.
Lucas était réveillé depuis un bon moment et fixait le plafond, casque d’écouteurs sur les oreilles. Il tournait dans son lit depuis un bon moment. Pensant que déjà, le lendemain, il allait devoir aller en cours. Il se demandait pourquoi les Week-End ne durait que 48 heures. Pour lui c’était complètement ridicule. Pour Lucas, tout devait avoir une logique, une raison d’être. Hors, il n’en trouvait aucune à la semaine de cours. Et encore moins au cours eux-mêmes. Il n’avait presque jamais mit les pieds dans une salle de cours régulière. Il n’allait qu’en cours de programme. Ce qui voulait dire musique et littérature. Il n’avait jamais comprit le sens des autres cours. Pour lui, il n’y avait que la musique et l’écriture qui existait depuis sa plus tendre enfance… C’était d’ailleurs ces deux choses qui l’avait maintenu en vie et qui lui avait donnés la force après la mort de ses parents et son mutisme. Ces morts lui avaient fait perdre tout ce qu’il avait. Ses parents étaient tout ce que Lucas avait dans la vie. Suite à cette disparition un peu abrute, sa tante à dut lui trouver une passion, sachant qu’il aimait déjà la musique, elle l’inscrit à des cours. Puis elle le mit un peu à l’écriture, lui disant qu’il pouvait se confier à un journal pour évacuer son stresse et ses frustrations. Qu’elle attendrait qu’il parle pour entendre sa jolie voix. Même encore aujourd’hui, elle ne l’entend que très peu !

Après des heures à fixer son plafond, Lucas s’épuisa et décida de faire autres choses. Il retira alors son casque et se leva de son lit. Il prit le premier pantalon, le premier t-shirt et la première veste qu’il vit. Il mit son Ipod dans ses poches et prit ses chaussures devant son bureau. Il mit son capuchon sur sa tête. Il sortit de sa chambre, agrippa une pomme dans la cuisine et sortie de l’appartement.

Il marcha quelques instant à l’extérieur, avant de s’arrêter à l’arrêt de bus. Lorsque le bus arriva près un moment, il y grimpa, paya son entrée et alla s’asseoir dans le fond. Il s’endormit lentement sur le banc, les jambes ramener sur lui-même et les bras sur ses genoux. Il avait les écouteurs dans les oreilles et n’entendait rien. Il ne sentit même pas les arrêts. Soudain, il sentit une secousse sur son épaule. C’était le conducteur du bus, ils étaient arrivés au terminus… Lucas allait devoir descendre et attendre l’autre bus de retour…

Lorsqu’il descendit, il se rendit compte qu’il avait la journée devant lui… Qu’il allait pouvoir prendre le bus plus tard. Il remarqua que le coin était boisé, un peu plus loin. Il marcha alors vers le coin boisé et traversa les arbres. Il découvrit à travers les arbres un petit lac. Le coin n’était pas très populeux en ce moment. Il remarqua un petit endroit éloigné, il y avait un chêne très grand et très beau qui surplombait l’endroit. Il marcha vers cet arbre et s’adossa et se laissa tomber sur les fesses. Il étendit les jambes et resta adosser contre l’arbre. Il était assis dos au lac. Il avait toujours les écouteurs dans les oreilles et il n’entendait rien du tout, concentrer dans sa musique.

Elisabeth resta étendus ainsi les larmes coulant jusqu'à n'en plus vouloir. Le regards perdus a travers la nature. L'ouïe étant a l'écoute du sifflement des branches et des feuilles créé par le vent s'infiltrant dans les endroits vide. La jeune femme respira la bouche ouverte et laissa le temps produit un effet de calme. Bien que momentanée elle se sentira légèrement mieux pour rentrée chez elle. Pourquoi la vie est si difficile. Le plus dure je crois c'est de se reconstruire. Certes les erreurs arrivent vite, mais après il faut les surmonter et se reconstruire. Comment faire quand vous ne savez pas, comment faire quand la force n'est pas avec vous? Et surtout comment faire quand votre entourage ne se soucis pas de vous? Je crois qu'il y a des épreuves dans la vie qui sont insurmontable si vous n'êtes pas aidé. Mais il faut trouver la bonne personne et la se n'est pas facile. Les personne de confiance, celles qui seront la dans les pires comme dans les bons moment se compte sur les doigts de la main et encore je pense qu'on a trop de doigts pour que chaque personne ai une place. Même 5 doigts c'est trop!!
Les heures passèrent, et Elisabeth s'endormit. Ces soucis avec Tyler n'étaient qu'accessoire. Pour que la douleur soit si forte, c'est qu'il y a bien plus. Un mal être se cache au plus profond de l'âme, son problème n'est qu'une goutte dans un vase énorme.

C'est quoi ces paroles tragiques!! Franchement je trouve que ce discours est du grand n'importe quoi, on a l'impression qu'elle est au bords de l'agonie. Comme si tout le malheur du monde pesait sur ces épaules. Ma pauvre tu es pathétique. La famine, la mort la souffrance dans les pays pauvres tu en a deja entendu parlé?
C'est le comportement d'une fille égoïste, égocentrique et surtout pourris gâtée. Voila ce que j'ai as dire. C'est que je suis pathétique pitoyable et que je dois me reprendre. Je ne peux me laisser allez ainsi.

Elisabeth se releva et se rendit compte de la présence d'un jeune homme. Il ne sembla faire attention a elle alors elle le fixa du regards. Quelque chose en lui l'attirait. Je dirais c'est comme si vous regardiez un tableau de Van Gogh ou de Rembrand. Il y a quelque chose dans le champ visuelle qui vous attire au point que votre regards que votre cerveaux imprime le moindre details du paysage.