Ashley { i'm sorry for losing you...

Fiche de Présentation

Ashley Hylliana Cooper
feat. Blake Lively

Age : 22 ans
Date de Naissance : 30 Janvier 1997
Famille : Sa mère est morte d'un cancer, elle vit avec son père
Lieu de Naissance : Oceanside
Particularité : Tuer quelqu'un, ca compte ?
Groupe : Kill someone you hate

Tell me your story !

Je suis née il y a vingt deux ans de cela, dans une petit ville paradisiaque de Californie: Oceanside. Mon père, David Cooper, était a l’époque un jeune entrepreneur avec des rêves pleins la tête, des rêves de grandeur, et de bonheur. Il était marié a une interprète grec, Hylliana depuis trois ans. Elle avait prit un congé à l’ambassade pour s’occuper de moi pendant la première année, mais il faut dire ce qui est: je n’ai jamais eu a me plaindre. Ils ont été là dans les bons et mauvais moments, malgré leurs emplois du temps chargés. Mon père avait investit dans plusieurs bâtisses de la région qu’il avait réaménagé et loué a des particuliers, ainsi que monté un club en ville. Maman, quant à elle, travaillait toujours a pleins temps pour l’ambassade. Entre tout ça, j’existais.

« Laura à côté de Carl, Rives à côté d’Henry, Ashley avec Nathael, Devyn avec Jenna, dans le fond, à droite… »

Nous avons été mit à côté le premier jour d’une de nos premières années d’école. Il avait déjà ce regard improbable, ce sourire, aussi. On était jeune, mais l’amitié à cet âge est tellement plus simple. Alors on est devenus amis, comme si c’était la suite logique des choses. Je crois même que c’est le premier garçon dont j’ai été amoureuse, mais encore une fois à cet âge… c’est pas facile de juger. En attendant, il a toujours été la pour moi, et moi pour lui. Et durant toutes ces années, on ne c’est pas quittés.

« Ashley je… viens là »

J’avais 14 ans. La déchéance a duré un an. Ils ont trouvé une tumeur sur le lobe temporale, un cancer incurable. Ma mère à été très forte, vraiment, même plus que j’aurais pu l’imaginer. Mon père, aussi. Il a fait face, pour moi. Mais elle est morte. J’étais trop jeune, je ne voulais pas comprendre que par ce principe, je ne le reverrais jamais. Celle dont je portait le prénom en deuxième position, celle qui m’avait apprise a marcher, celle qui était mon modèle. Je voyais toutes ces filles autour de moi parler de ces sorties, de toute ce qu’elle partageaient avec leurs mères… alors, pour combler le vide, mon père a tout fait pour me changer les idées. De nombreux voyages, tout ce que je voulais. Oh oui, j’en ai profité pas mal au début ! Seulement, j’ai vite compris que ça ne me la ramènerait pas, et que ce mal au cœur ne partirait pas comme ça.

« T’es mon meilleur ami, Nate.
- C’est pas ce que je voulais dire… je… tant pis. Oublies. Je dois y aller.
- Nate ! »

Il l’aimait, il le lui avait dit. Comme j’aurais aimé lui dire que je crevais d’amour pour lui, que je le voulais, lui seul. Mais je n’ai pas pu, parce que j’avais peur de le perdre, parce que je ne voulais pas tout gâché. J’ai fait une belle erreur, j’ai fait semblant de ne pas comprendre, et je l’ai laissé partir ce jour là. Il est revenu, bien sure, mais ce n’était plus vraiment pareil. Pour l’un, comme pour l’autre.

« Dans l’affaire d’homicide entraînant la mort de Mr Steeve Hopkins, l’accusée Ashley Cooper est déclarée… non coupable. »

J’ai tué un homme. Un ami, du moins, je le croyais. Il a voulut me violer, voilà pourquoi je n’ai pas été reconnue coupable. De toute façon, j’avais tout le monde derrière moi. Par pitié ou hypocrisie, mais j’avais le soutiens de pas mal de monde. Pourtant, je me sentais plus coupable que jamais. J’ai tenu deux ans, le temps d’avoir mon diplôme de fon d’étude, avant de partir loin de tout ça. Je n’en pouvais plus, j’avais besoin d’air. Alors, a 18 ans, j’ai fermé ma valise et j’ai été retrouver de la famille, en Grèce. Mon père venait me voir dés que possible, mais il devait rester en Californie, pour ses affaires. J’y suis restée quatre ans. Maintenant, il est temps que je revienne. Mon père s’inquiète pour moi, et moi pour lui. Il a peur que je refuse les tests de dépistages pour la tumeur dont ma mère a cédé, j’ai peur qu’il soit trop… seul. Alors je reviens. Après quatre ans. Voyons voir ce qu’il adviendra, si je retrouverais mes amis, si je le retrouverais, lui…

Tell me your secret !

J’avais seize ans, et la vie parfaite pour une fille de mon âge, enfin, en apparence. Certes, la perte de ma mère avait été une grande épreuve, mais je tachais de faire bonne figure, et puis mon père était présent plus que tout. Capitaine des cheerleaders, populaire, aimée, avec amis et compagnie, bref, la totale. J’allais de fête en fête pour me changer les idées, mais a chaque fois, c’était la même chose. Un étrange sentiment me rattrapait. Celui de ne pas être a ma place. Alors l’alcool coulait a flot, dans mon verre comme dans mes veines, avec l’impression naïve que ça me ferrait me sentir mieux. Mais arrivée a un certain stade, le sentiment amplifiait et là… c’était la fin. Alors je devais m’isoler, pour reprendre le contrôle de mon esprit.
Ce jour là, la fête battait son plein. Mais comme d’habitude, aux alentours de trois heure du matin, je me retrouvait seule dans une chambre, le début d’un mal de crâne venant pointer le bout de son nez. C’est là que Steeve est rentré. Je le connaissais bien, il faisait partie de l’équipe de basket du lycée et c’était le genre de type avec qui j’aimais bien délirer. Il avait trop bu, je pouvais le voir rien qu’à son attitude, mais il n’avait jamais été… comme ça, avec moi. Peut être étais-je trop confiante, pas assez craintive, j’en sais rien. Je pensais vraiment qu’il voulait savoir comment j’allais, mais rien de plus ! Je le jure… mais ce changera rien. Il a commencé a devenir entreprenant, et je pensais qu’en le repoussant gentiment, il comprendrait et arrêterais, simplement, puis qu’on en rirait, comme d’habitude. Mais il n’a pas arrêté. Je ne sais pas si c’est l’alcool ou quoi, mais ça m’a parut interminable avant que je n’attrape cette bouteille de vodka. Je voulais juste le repousser, je voulais juste qu’il arrête. Ça fait un bruit… impressionnant. Je ne pourrais jamais l’oublier. La bouteille c’était écrasée contre son crâne, côté gauche. Un bout de verre c’était logé dans sa tempe. Il c’était écroulé sur moi, et j’ai hurlé. Je crois même que je pleurais, à ce moment là. Je peux encore voir se regard encore posé sur moi, mais tellement vide. Des filles ont accourut, et après tout c’est passé très vite. Mais pour moi… tou ce que je retiens de cette soirée, c’est que j’ai tué un ami. Ou du moins, quelqu’un que je considérais comme tel. Le juge a décidé de la légitime défense, puisqu’il a essayé de me violer, et que j’avais des marques de coups sur le corps. Mais je l’ai tué, et il… il a tout gâché, trahis, bafoué. Je suis partie, je n’en pouvais plus, de cette vie, de cette ville, de ses regards sur moi. Je ne voulais pas de leur pitié. Alors, il y a quatre ans je suis partie. Mais maintenant, je pense qu’il est temps de faire face. Même si j’ai peur, et que ce bruit de verre conter son crâne et son regard me hante encore chaque nuit…





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